Top départ pour les formations aux métiers de Bolloré. La multinationale à procédé au lancement de son programme de formation vendredi 15 janvier dernier dans ses locaux. Et pour son tout premier projet collectif mutualisé à toutes ses branches, la tradition du groupe français est revisitée. Toutes les entités du groupe sont concernées, le nombre annuel de diplômés formés aux métiers de la boîte connait une hausse avec une professionnalisation de la formation. Pour cette grande première, la multinationale a tenu à mettre les bouchées triples.
60 diplômés recrutés des écoles partenaires et non 20 comme d’ordinaire recevront sur 12 mois une formation pilotée, ce coup-ci, par un cabinet de formation externe puis seront mis à la disposition de la multinationale : voilà en substance le programme de formation aux différents métiers de Bolloré .
Les recrues sont les meilleurs de l’Institut National Félix Houphouet Boigny (INP-HB) et de l’Académie Régionale des Sciences et Techniques de la Mer (ARSTM). Ces derniers recevront une formation théorique sur 5 mois puis une autre pratique sur 7 mois avec à la clé un emploi « garanti ». La formule de l’entreprise vise ainsi à anticiper sur son besoin en ressources humaines.
Elites et module de formation
Maître d’œuvre cette année : le cabinet Elites. l’agence a pour mission le renforcement des capacités pédagogiques des formateurs Bolloré en interne. Son directeur Kabran prévoit débuter sa tâche par une phase de formation transversale à tous les métiers. La culture d’entreprise, la communication interne et l’intégration à l’environnement professionnel vont constituer les modules. Ensuite, viendra la formation des stagiaires aux métiers proprement dit. les transitaires, mécaniciens, électromécaniciens et techniciens de maintenance recevront des formations bien spécifiques.
Un emploi garanti à la fin de la formation
« Nous les embaucheront tous » : martèle Simon Yoman, Directeur des Ressources Humaines du groupe. Le programme de formation aux métiers de Bolloré est mené en collaboration avec le Fonds de Développement de la Formation Professionnelle (FDFP) et a une valeur d’environ 120 millions de Fcfa.
Très bon article comme toujours. Je trouve que toutes les entreprises privées devraient donner plus d’ouverture à la jeunesse ivoirienne. Merci Rita !
Merci ma fidèle Aida! Bisous ma grande.