Non, je ne vais pas vous le prêter.
C’est chacun son Brutal.
Et le mien, je le garde jalousement…
Par contre, je peux vous le décrire, vous l’écrire exactement comme je l’ai lu.
Lu…disons plutôt dévoré.
Car se plonger dans Brutal c’est aussi bon que de faire l’Amour, de 88 façons différentes.
Chaque histoire, en effet a un goût propre, un parfum spécifique, une particularité et une simplicité qui la rend spéciale.
Cela, qu’elle chante une ode à la femme, à la vie, à l’amour ou pleure divorce.
Et comme les auteurs le martèlent :
« Que nos règles soient notre,
Neuves et diverses en formes… »
(S’il faut être poète, Brutal , page 98 ).
Ce poème, placé là, en fin d’ouvrage, semble fixer les règles de leur art, de ce bel art.
Alors non, je ne vais pas vous le prêter.
Je le garde jalousement…
C’est la nouvelle fierté de ma bibliothèque, après Debout Payé de GAUZ .
Et si vous voulez le vôtre, suivez le lien-ci (http://desmotsdesimages.ci/commandez-bruta/) pour commander.
Ils se feront un plaisir de vous le livrer
Brutal, l’irrésistible bouquet de jolis mots


